comme je l'ai dit juste au dessus, je m'appelleJuliette Villegas. Merci maman pour les origines française. je suis née un certaindix-neuf juillet 1993, maintenant vous savez alors oubliez pas mes cadeaux merci !dans une ville qui se nommeParis la ville des amoureux; mais oui, vous savez, enFrance ! maintenant, je vis ici, à Lighfield, et pour être honnête, je trouve quec'est cool. De toute façon j'ai toujours habité ici alors faut bien s'y faire. heureusement, ici, on rencontre des jolis poulets. d'ailleurs, en parlant de ça, je suis attirée par lesMECS LES PURS LES DURS LES VIRILES GRAOU, pas comme celui que j'avais avant là et suis actuellementcélibataire . je ne sais pas vraiment si c'est une bonne ou une mauvaise chose mais bon, je m'y fais plutôt bien. de toute façon, j'ai autre chose à penser puisque je suisVendeuse chez Séphora. la classe, non ? ce qui a moins la classe en revanche, c'est qu'on me confond souvent avecZoe sugget ça m’énerve. je ne sais même pas qui c'est d'abord ! ah, au fait, je fais partie du groupeLes amoureux ou les révolutionnaires je sais pas encore .
quoi ? tu veux en apprendre davantage sur moi ?
alors laisse-moi te raconter une histoire
caractère :Active ▽ Boudeuse ▽ Bavarde ▽ Rancunière ▽ Possessive ▽ Franche ▽ Rêveuse ▽ Très émotive ▽ Douce ▽ Fantaisiste ▽ Généreuse ▽ têtues ▽ Jalouse ▽ Impulsive ▽ Tactile ▽ Positive ▽ Chiante . manies et habitudes :Je ne sais pas tenir en place. C'est simple, j'ai toujours besoin de bouger, de rigoler ▽ Je suis très portée sur la famille et sur toutes les personnes qui m'entoure. En fait, je ne me sens pas bien quand je suis seule ▽ J'ai horreur des habitudes et préfère vivre les fantaisies de l'imprévu. ▽ J'avoue que je suis très émotives et que j'ai du mal à maîtriser mes émotions. Mes réactions sont généralement rapides et pas vraiment réfléchie. ▽ Quand je suis mal à l'aise je me mort les lèvres ou joue avec mes doigts. ▽ J'adore le nutella. Comme tout le monde n'est-ce pas ? ▽ J'ai besoin d'être très tactile, même avec ceux que je ne connais pas. ▽ Avant de sortir de chez moi il faut toujours que je repasse devant le miroir. ▽ J'ai le rire facile et on me dit souvent qu'il est communicatif ▽ Certaine collectionne les chaussures ou les sac mais moi je collectionne le rouge à lèvre. J'en ai des tiroirs remplies chez moi ▽ J'ai toujours ma peluche de quand j'étais enfant, Mickey, sur mon lit. Mais chuuut ▽ J'ai horreur des cigarettes ! Filles de chœur ? Moi ? Peut-être bien oui ▽ Je ne fais pas non plus couler l'alcool à flot tous les soirs alors je pars facilement au quart de tour pour un peu d'alcool ▽.
c'est bien joli tout ça, mais en vrai de vrai, moi c'est
Jewel(Marina)
on me connaît sous le pseudoJewelmais mon vrai prénom c'estMarina. j'aiDix-neuf anset j'habite àAix en provence; mais oui, vous savez, enPACA ! j'ai connu le forum grâce àmes fesseset pour être honnête, je trouve qu'il estd'une nullité accablante donc je vais essayer d'y venir0/7 sinon ça me ferrait trop chier Mais en vrais 7/7 24/24. pour finir, j'ai envie de dire queJe vous aimes déjà tous et jvous fait plein de kissous.
Vous vous souvenez de votre enfance à l’époque où vous croyiez aux contes de fée ?
Y parait que quand on est enceinte le repos est de rigueur. D'ailleurs beaucoup de femmes profitent de la maternité pour abandonner un peu le boulot, les tracas du quotidien et pour aller se forger une petite bulle, un petit cocoon dans son chez soi. Mais le repos, Mme Montgomerry, elle ne connaissait pas ça. Elle allait quand même perdre plusieurs mois et donc plusieurs contrats, pour un ventre rond ! « Paris ? Demain ? Non non comptez sur moi je serais là ! » Et ce n'est quand même pas un avion, contre indiqué en fin de grossesse, qui allait la faire reculer ! Elle était déjà en voyage en Irlande pour un contrat et c'était d'ailleurs avec un autre homme que son mari qu'elle était tombé enceinte de moi. Le tunnel sous la manche n'existant pas encore il n'y avait cas faire appel aux nombreux jets privé que la famille possédait et puis un peu d'air frais ne ferait pas de mal à cette jeune femme constamment enfermé dans des bureaux. Ce que Mme Montgomerry n'avait pas prévu c'est que les secousses du bateau pourraient provoquer le travail et à peine un pied mis sur la terre ferme que les contractions commençaient à se faire sentir. Vous pensez que cela arrêterait cette jeune femme n'est-ce pas ? Et ben vous vous trompez ! Il FALLAIT à tout prix qu'elle fasse son travail et puis après tout, des contractions passagères ça peut arriver à tout moment. Sauf qu'une fois arrivé à Paris les contractions se rapprochant et la détermination de la jeune femme étant toujours aussi tenace il fallut aux supérieurs d'intervenir pour la renvoyer chez elle ou plutôt, à l'hôpital. Et c'est de cette façon que je vue le jour, entourée d'hommes en costard puisque la détermination de ma chère mère pour travailler ne s'était tout de même pas arrêté après l'accouchement, faut quand même pas rêver ! Et puis elle avait déjà eu un enfant alors elle savait très bien comment ça ce passé elle n'avait pas besoin de se soucier pour quoi que ce soit ! Mes parents voulaient m'appeler Juliet mais puisque j'étais née en France elle trouvait que ça serait bien de rendre mon prénom un peu plus français et voilà Juliette était née ! Ma famille était riche, vraiment riche, vous savez les bourges que vous voyez à la télé ? Et ben nous c'était ça X10, les murs de ma maison c'était des diamants et notre voiture était faite d'or ! Ouai bon peut être pas mais, vous voyez le genre. Malheureusement Madame Montgomerry se rendit vite compte qu'elle n'avait aucunement le temps de s'occuper d'un enfant de plus et encore moins d'un enfant qui ne sera pas désiré par son mari puisqu'il avait été fait avec un autre homme. Elle décidait donc de me placer dans une famille beaucoup plus aimante, une famille qui ne pouvait pas avoir d'enfants pour la très bonne raison que cette famille était composée de deux papas. Ils avaient déjà un fils, Julian, qui lui avait 3 ans. Cette famille était parfaite et pour rien au monde je ne voudrais la changer.
Et tu es en train d’écouter cette chanson dans cette voiture avec la personne que tu aimes le plus au monde. Et en ce moment, je jure... Nous sommes infinis.
« Noooon ! Joveux pas aller à l’école ! Popa me laisses pas ! » Qu'on est mignon quand on est petit. Trois ans, premier jour d'école et j'aurais préféré ranger ma chambre plutôt que mes pères m'abandonne ici avec tous ces inconnus ! Enfin ranger ma chambre.. J'aurais fait genre et y en a bien un des deux qui serait venu le faire à ma place en voyant que je rangeais n'importe comment ! J'avais dans mes bras mon doudou Mickey et je le serrais le plus fort possible. « Ça va aller Mickey ! » Chuchotais-je alors plus pour me rassurer moi que la peluche ! Mais encore aujourd'hui je pourrais vous parier que mon doudou était aussi stressé que moi ! Une fois dans la classe je m'assoie à côté d'une fille aux cheveux bruns très foncé qui me regardait déjà mal. Bon bon bon je suis supposée faire quoi moi ? « Cette place elle est déjà pour ma copine ! » Lançais-elle alors la tête haute comme une madame je sais tout. Je vous présente Albane à ses trois ans ! Selon moi, une mini peste. À part vouloir m'asseoir à cette place je lui avais rien fait et pourtant depuis ce jour elle avait décidé que je serais sa pire ennemie. Au final j'étais partie m'asseoir avec la mini pimbèche de l'école, à peine trois ans et elle avait déjà les cheveux blonds parfaitement lissé par maman, des bijoux de partout et une parfaite petite robe et surtout elle se prenait pour mini miss mais, je l'aimais bien c'était ma copine alors je ne faisais pas attention à son côté trop excentrique. « Euuuh t'es qui pour me parler toi ? » Premier jour de CP et on dirait que ma pimbèche de meilleure amie c'était trouvé une nouvelle bande qui lui convenait plus, puisque ces filles lui léchaient littéralement les fesses. J'étais partie me réfugier dans les toilettes pour pleurer un bon coup. Quand on est enfant et qu'on perd une amie, on a l'impression d'avoir le monde qui nous tombe dessus. En entendant les pleures ma prétendue ennemie avait toqué timidement à la porte et depuis ce jour-là on était miraculeusement devenu inséparable. C'était finalement dans les chiottes, autour de cabinets pourris et bouché qu'on avait réellement appris à se connaitre. Finalement, je suis plutôt reconnaissante de cet mini miss pouf' !
On dit que ne choisit pas sa famille mais qu'on choisit ses amis. Jamais je n'aurais pu choisir de meilleurs amis que ceux que j'ai. Mon meilleur ami il a toujours été là pour moi dans les bons comme dans les mauvais moments, on dit que c'est à ça qu'on reconnaît un vrai ami. Il doit bien être le seul mec à me comprendre entièrement, avec lui je peux juste être moi, on est nous quoi, un tout. Il n'y a jamais eu aucune ambiguïté entre nous, aucune tentative, aucun regard en coin et je crois que c'est grâce à ça que je sais que je peux lui faire entièrement confiance. Parfois l'amour brise tellement de choses. On s'est rencontré au jardin d'enfant et même si on s'entendait bien on ne restait pas tellement ensemble. Faut dire que quand on est petit l'amitié fille/garçon c'est INCONCEVABLE. Mais on est toujours resté assez proche et c'est avec les années qu'on est devenu inséparable. Ensemble, on peut passer des heures à faire et dire n'importe quoi. Un rien nous fait rire à tous les deux alors faut dire que ce n'est pas bien compliqué pour nous faire partir. En fait, jpense qu'on se complète parfaitement, comme des jumeaux. On se comprend et je sais que je pourrais toujours compter sur lui et qu'il sera toujours là pour me prendre dans ses bras quand ça va pas. Jpense que notre relation n'a fait que devenir encore plus importante à mes yeux depuis qu'Aden est parti. En fait, c'est le seul à qui j'ai réussi à me confier quand il a décidé de faire ses voyages. Une des rares personnes à m'avoir vue pleurer pour de vrai, un vrai gros chagrin d'amour. Du coup, pendant cette période on s'est rapproché, j'ai compris qu'il ne pourra jamais m'abandonner et pareil de son côté je pense. Je serai toujours là pour lui, c'est pas pour rien qu'on est meilleur ami ! En bref avec lui c'est juste la joie, la bonne humeur, le rire, l'excitation, tout ce dont on a besoin pour égayer une journée et il est rien qu'à moi les filles ! Ehh ouaai pas touche c'est mon bébé à moi !
C’est l’instinct qui, pressentant la menace d’une perte si immense et si irrévocable, fait que l’esprit se rebelle quand il en prend la mesure.
« NON papa ! il est hors de question que j'aille dans cette école ! A partir de maintenant, ils peuvent très bien se passer de moi ! » Première rébellion si ce n'est pas beau ça ! J'en avais plus que marre de ce mode de vie. Bien évidemment j'avais des valeurs, bien évidemment je les aimai mais, je n'étais tout bonnement pas croyante comme ils l'étaient. J'avais conscience que pour eux cette situation ne devait pas être simple, ils étaient tous les deux des catholiques pratiquants et souhaitaient renvoyer leurs éducations sur leurs enfants sauf que mon frère et moi n'étions pas prêts à recevoir une éducation religieuse tout simplement. On respectait nos papas et leur croyance sauf que nous pensions différemment d'eux. Les pauvres avaient adopté deux enfants qui voulaient en faire qu'à leur tête et qui ne pourraient jamais pratiquer comme eux le souhaitaient. Ils m'avaient tout de même forgé une certaine éducation, je ne buvais pas, ne fumais pas, ne jurais pas, j'évitais les péchés et je faisais la prière avec eux avant le diner mais, c'était plus par habitude que par réel foi en Dieu. Ce qui allait poser problème c'est qu'après quatre ans dans une école catholique j'en pouvais plus et je savais que je ne désirais pas continuer sur ce chemin. « Albane, elle, va dans une école NORMALE, où la croyance n'est pas L'UNIQUE option et où les élèves ne sont pas COINCE ! » Je rentrais en furie dans la chambre de mon frère et claquer la porte. Au fond, il était le seul à me comprendre ici. Je n'étais pas non plus une enfant incomprise mais, on avait tous les deux le même problème. Il savait si bien comment me parler, comment me consoler et n'avait pas besoin de grands discours à l'eau de rose pour toucher là où il fallait, c'était le parfait grand-frère. Alors, j'allais me nicher dans ses bras quand je ne me sentais pas bien. « Comment t'as fait toi pour survivre dans ce genre d'école ? » « Je voulais faire plaisir aux parents... C'est une tradition d'aller là-bas tu sais, y a notre arrière-grand-père sur les murs de cette école ! » « Wow, si ça ce n'est pas une bonne raison pour y aller ! » Et puis il avait simplement ri et m'avait pris la main pour m'embrasser en me promettant que tout irait bien. Il était comme ça, calme, serein, on avait l'impression qu'à ces côtés tout était possible, c'était un peu mon superman. Après plusieurs jours de dispute j'avais réussi à obtenir ce que je voulais, comme une enfant pourris gâté en fait. J'avais réussi à leur faire croire que d'aller dans une école publique serait une bonne expérience pour que je me rende compte que si on ne pratique pas on devient des sauvages, des ados normaux en fait quoi.
Au lycée on ne pense pas rencontrer l'amour de sa vie. On l'espère, on en rêve en regardant nos séries favorites mais franchement, au bout du compte, combien de couple dure vraiment dans le temps ? Avec Aden tout c'était fait tellement facilement. Il avait tout juste une année de plus que moi mais, parfois une année peut créer tant de barrière, surtout pour les mecs qui eux préfèrent trainer avec des filles matures. Et pourtant notre amitié était belle et bien là. Avec lui c'était simple, je n'avais pas besoin de me prendre la tête ou de prétendre que j'étais une autre personne pour qu'il s'intéresse à moi. On avait nos habitudes et nos endroits. Étant très tactile je ne pouvais pas m'empêcher de passer tous nos moments ensemble dans ses bras ou tout simplement à ses côtés. C'était simplement une belle amitié, comme un frère on dit mais, il y avait toujours eu ce truc qui m'empêchait de le traiter complètement comme un frère, un petit je ne sais quoi.Ce sentiment qu'il manquait peut-être quelque chose et je n'avais pourtant pas fait le rapprochement avant qu'il fasse le premier pas. Ce jour, où il avait osé déposer ses lèvres sur les miennes. Jamais je n'aurais pu penser ressentir ça et encore moins pour lui. Mon cœur avait explosé en moins d'une seconde, tout mon corps s'était mis à frissonner et ma tête avait perdu tout le contrôle. Jusqu'à ce jour je n'avais jamais pensé qu'une telle chose aurait pu arriver entre nous et pourtant une fois arrivé c'était d'une évidence. J'étais restée bête devant lui, figée, tous ces sentiments qui avaient fait surface en un baiser, ça en était presque à me faire souffrir, presque effrayant. Je ne sais pas s'il avait eu conscience de l'effet qu'il avait eu sur moi ce jour-là mais, mon cœur souffrait d'amour pour lui. J'avais envie qu'on reste comme ça pour l'éternité, je ne voulais plus qu'il me quitte, jamais. J'avais le besoin de le voir sourire pour être heureuse et besoin de ses bras pour me réchauffer. Notre vie n'avait pas été tellement bouleversée, on était en couple certes mais, on gardait nos habitudes. Comme je l'ai dit, c'était tellement simple avec lui de rester naturelle. Une histoire presque trop parfaite oui, car il a fallu après huit mois qu'il m'annonce qu'il devait partir. Où ça ? Il ne le savait pas. Je savais comment il était, ô combien il rêvait de faire le tour du monde, je n'avais juste pas pensé qu'il le ferait ou du moins de sitôt. Égoïste, j'espérais le garder rien que pour moi. Le reste du monde pouvait très bien se passer de lui alors que moi j'avais besoin de lui à mes côtés. Cette annonce m'avait tout simplement brisée de l'intérieur et pour une fois j'avais décidé de cacher mon naturel. Bien évidemment, je lui montrais que j'étais triste mais, s'il savait ô combien ça m'avait détruite je pense qu'il m'aurait pris pour une de ces filles idiotes qui s'attachent trop à une amourette de lycée et j'étais pourtant persuadée que c'était plus que ça... Finalement, on a décidé de se quitter, c'était bien mieux comme ça on n'aurait jamais pu tenir une relation à longue distance. Il fallait que je tourne la page et pas que je me morfonde. Positive, être toujours positive, c'était mon mot d'ordre. Ne jamais être faible, prendre sur soi et toujours aller de l'avant. Aden qui ? Il y en avait sûrement des centaines pour le remplacer n'est-ce pas ?
L’alcool n’est qu’un lubrifiant pour toutes les rencontres qu’il peut offrir.
Parfois, le destin fait tellement bien les choses. Si ce n'était pas grâce au destin, comment j'aurais pu rencontrer Matthew ? C'était juste après le départ d'Aden, franchement j'étais perdue, je ne savais plus qui j'étais ou ce que j'étais supposée faire maintenant qu'il était parti. Avancer ? C'était surement la meilleure solution, surtout que lui ne devait pas se déranger de son côté mais, ce soir, j'avais décidé de me morfondre. La première soirée passer seule et toujours la plus difficile.. Je me suis rendue dans le premier bar, surement pas une bonne idée puisque le bar était rempli de vieux pervers mais, au moins je n'avais eu aucun problème pour acheter de l'alcool puisque les gentils messieurs achetaient les verres pour moi. Ce qu'ils ne savaient pas, c'est que je ne tenais pas du tout l'alcool alors un verre m'aurait amplement suffit mais, j'avais juste besoin de m'évader alors j'acceptais chaque verre qu'on me donnait, m'abêtissant un peu plus au fur et à mesure que la soirée continuait. Je ressortais quelques heures plus tard bien amochée, en marchant de droite à gauche comme si je me trouvais sur un bateau mais, jsuis sûre que j'étais pas la seule dans cet état, la terre elle avait décidé de déconner avec moi alors elle faisait exprès de bouger pour que j'ai l'air encore plus conne. Je finissais par atterrir en face d'une fontaine et épuisée je m'affalai sur le bord de la fontaine, tête baissée, prête à finalement faire sortir toutes les larmes que j'avais pu retenir jusque-là.« J'AI CHAUD » sauf que mon corps en avait décidé autrement. Je mis quelques minutes à me relever et à me stabiliser surtout, avant de commencer à danser en chantant à tue-tête. En riant, j'enlevais mon haut et le lançais en l'air avant d'atterrir par mégarde sur un passant ce qui me fit pouffer de rire encore une fois mais, qui ne m'empêcha pas de continuer. J'avais besoin de me sentir vivre, en faisant enfin des conneries et donc à ce moment sauter dans une fontaine à poil me semblait une bonne option. J'enlevais finalement mon bas avant d'aller sur le bord de la fontaine, debout, les bras en avion pour ne pas tomber, en fait dans ma tête j'avais juste l'impression d'être sur un mini fil tendu et que j'étais trop une bosse à rester debout là-dessus. J'étais prête à offrir le grand spectacle avant de sauter, c'est-à-dire à enlever mes sous-vêtements mais, avant que je puisse faire quoi que ce soit, une personne m'attrapa par derrière, ce qui valut à un beau cri strident de ma part, avant de me faire descendre à terre et de me lâcher alors que moi avec mes tous petits bras plein de force (sisi) j'essayais de le pousser pour le faire tomber ou je ne sais pas. « Mais ça va pas la tête de s'en prendre aux pauvres jeunes filles innocentes comme ça pour leur foutre leur peur de leur vie !? » En le regardant de plus près je reconnaissais le gars qui avait eu le bonheur de recevoir mon t-shirt sur la gueule. Finalement, ce gars c'était Matthew et il avait été mon sauveur, parce que sans lui je me saurais pris l'humiliation de me retrouver à poil dans toute la ville et puis il avait dû user de sa patiente avec moi parce que vu dans l'état dans lequel je me trouvais j'étais surement pas prête à renoncer à ma grande et superbe idée comme ça hein ! Il aurait pu profiter de la situation mais, il ne l'avait pas fait, il avait tout simplement prit son manteau et l'avait enveloppé autour de moi, comme mon grand-frère l'aurait fait, hormis que mon frère m'aurait tabassé pour m'être retrouvé comme ça dans la rue mais, enfin bref. Depuis ce jour je le vois comme mon grand-frère, comme un super héros et grâce à lui et à sa sérénité dans un tel moment je n'avais pas craqué. Parfois on a juste besoin d'une personne avec qui on se sent bien pour oublier l'espace d'un instant les problèmes de la vie quotidienne.
Les amis c’est comme les lunettes, ça donne l’air intelligent, mais ça se raye facilement et puis, ça fatigue. Heureusement, des fois on tombe sur des lunettes vraiment cool ! Moi, j’ai Albane et Mason
Albane et moi on est toujours resté en contact même malgré le fait que j'ai passé tout mon collège dans une école religieuse. D'ailleurs avec Mason aussi on est resté proche pendant ces années-là c'est pour ça que je sais que mes meilleurs amis c'est vraiment les meilleurs ! Albane c'est la plus belle et un jour on dominera le monde ensemble mais, pour le moment on domine notre appart c'est déjà ça je dois dire. En grandissant ça a juste été une évidence qu'on se prenne un appart' ensemble. Elle est toujours là pour moi, je n'ai même pas besoin de parler pour qu'elle sache comment je vais et ce qu'elle doit dire alors c'était une évidence qu'il fallait que je la garde près de moi quand je suis partie de ma maison. De toute façon c'est mon gros bébé d'amour et un jour je vais l'épouser et lui faire plein d'enfants alors faut bien qu'elle commence à s'habituer à la vie avec moi !Elle sait toujours comment me mettre de bonne humeur, rien que sa présence me met de bonne humeur en fait. Je sais qu'avec elle on peut se la couler douce tranquillement, y a aucune prise de tête et on est toujours sur la même longueur d'onde. Avec Mason rien a changé, on est toujours les mêmes, deux gamins, si ce n'est peut-être qu'on fait semblant d'être en couple depuis peu ? Depuis qu'Aden est revenu c'est un peu le vide interstellaire dans ma tête, je ne sais pas quoi faire, comment agir, tout ce que je sais c'est que je lui en veux de ne pas avoir été là pour me soutenir dans les moments les plus dur. Du coup, fallait bien que j'ai quelqu'un à mon bras, sinon je savais qu'en un sourire d'Aden j'aurais craqué et je lui aurais absolument tout pardonné. J'avais beau essayer de me forgé une carapace, quand il était là j'étais la plus faible des personnes sur terre. Et puis ça amuse bien Mason de jouer avec Aden, faut dire que même s'il en parle pas beaucoup pour pas me rendre triste il a qu'une envie et c'est de casser la gueule à Aden pour m'avoir laissée comme ça. C'est tellement rare de me voir pleurer et jpense qu'il ferait regretter n'importe quelles personnes qui oseraient me faire sangloter. Peut-être que Mason profitait un peu trop de l'avantage de la situation et faut dire qu'il jouait très bien son rôle, même moi je pourrais me laisser berné par ses petits mots doux et par sa façon d'agir mais, si ça pouvait au moins ouvrir les yeux à Aden sur ce qu'il a manqué ça serait pas mal.
It’s like you’re screaming and no one can hear. You almost feel ashamed that someone could be that important, that without them you feel like nothing. No one will ever understand how much it hurts. You feel hopeless, like nothing can save you. Then when it’s over and it’s gone, you almost wish that you could have all that bad stuff back, so that you could have the good.
« Nine one one what is your emergency? » On connait tous bien trop cette phrase. On espère juste n'avoir jamais à y faire face... C'était il y a un an, ça faisait déjà quelques temps que j'avais abandonné le cocon familial pour m'installer avec Albane et comme Julian, mon frère, était lui aussi parti de son côté mes pères nous avaient demandé de passer une soirée tous ensemble au cinéma. Fatigué, j'avais annulé à la dernière minute mais, eux y étaient quand même allés. Ils n'allaient quand même pas se priver de passer une soirée ensemble pour moi hein ! Il était environ 23h et j'étais en train de comater devant la télé. À vrai dire, je ne saurais même pas dire ce qui avait à la télé, car j'étais vraiment en train de partir avec Morphée quand un coup de tonnerre me faisait sursauter me sortant immédiatement de mon état second. M'enroulant comme une limace dans la couverture que j'avais sur moi je me décidais à aller dans ma chambre pour finalement me reposer mais, fut dérangée, encore une fois, par quelqu'un qui toquait à la porte. En soufflant, je traînais des pieds jusqu'à la porte et regardais par la petite loupe pour voir qui pouvait bien venir me faire chier à cet heure-ci et si c'était encore Albane qui avait oublié ses clefs je vous jure que je l'aurai laissée dormir sur le paillasson ! Mon coeur se mit à battre quand j'aperçue des policiers de l'autre côté de la porte. On n'est jamais préparé pour ce genre d'évènement, Albane avait un souci ? Elle n'était pas encore rentrée certes mais, elle n'était pas du genre à causer problème aux autorités. J'ouvrais alors la porte timidement sortant d'abord uniquement la tête pour m'assurer que je n'avais pas rêvé avant d'ouvrir complètement la porte. « Mademoiselle Villegas ? » « Oui ? » J'ignorais quoi faire, je regardais chacun des deux policiers l'un après l'autre, cherchant à lire les réponses dans leur yeux, voulant leur soutirait les informations de leur cerveaux. Ils mettaient trop de temps à choisir leurs mots, mon coeur s'accélérait de plus en plus, j'avais besoin d'une réponse ! « Il y a eu un accident sur la nationale 569... J'ai bien peur que vos parents ainsi que votre frère pourraient être impliqués, voudriez-vous nous suivre s'il vous plait ? » Ma mâchoire tombait automatiquement pendant que j'ouvrais grand mes yeux qui, eux, s'embuaient à une vitesse accablante. A cet instant, je regrettais d'avoir manqué de patience. Non ! Reprenez vos paroles dites-moi que c'est une blague de mauvais gout ! Sans réfléchir, ni dire un seul mot, j'attrapais mes chaussures, balança ma couverture dans la pièce et suivi les policiers. J'avais pas envie d'en entendre plus, je n'avais pas envie qu'ils me disent l'état de ma famille, comme ça je pouvais toujours espérer. A l'arrière de la voiture, je restais encore inconsciente de la situation, tremblante, je n'y croyais pas vraiment. En fait, on allait m'amener à une fête surprise et tout le monde allait se foutre de ma gueule c'est ça ? Sauf que non je voyais bien mon chemin approché de l'hôpital et j'étais impuissante devant ce grand bâtiment blanc. J'avançais comme un fantôme jusqu'à un docteur qui m'annonçait le verdict... Un de mes pères n'avait pas survécu durant le trajet, le second était dans un état critique et mon frère avait de grande chance de s'en rétablir sans séquelle. Mes yeux fixaient le vide pendant que les larmes coulaient inconsciemment le long de mes joues. C'était un cauchemar, j'allais me réveiller ça ne pouvait pas être la vérité ! En fait, j'étais toujours devant mon canapé en train de comater c'est ça ? Juste un stupide cauchemar ! Je vais me réveiller, me rendre compte que j'ai raté une bonne opportunité de passer une soirée avec ma famille et je vais les rejoindre. Faites que ce soit un cauchemar ! Finalement, je m'étais écroulée au milieu de l'hôpital, mes jambes n'étant même plus capable de porter mon propre poids et je me noyais dans le sanglot. Dans ce moment, il n'y avait qu'une seule personne que j'avais envie d'appeler, que j'avais envie d'avoir à mes côtés pour qu'il me prenne dans ses bras et me promette que tout iras bien, Aden. Malheureusement monsieur était bien trop occupé à s'amuser dans un autre continent pour que je puisse considérer de l'appeler. Cette nuit j'avais perdu mes deux papas, les deux personnes qui m'avaient élevé et qui avait fait de moi la personne que j'étais. Je n'avais même pas été présente dans leurs derniers instants, trop fainéante. Si j'étais venue qui sait, ça aurait pus être uniquement moi qui serai parti ? Peut-être que je les aurai retardés et que rien ne serait arrivé ? Tout ce que je pouvais faire c'était m'en vouloir et pleurer... Il allait falloir que j'apprenne à avancer sans eux et que je devienne plus forte car, si j'en étais arrivé là après tout, c'était grâce à eux.
Dernière édition par Juliette Villegas le Jeu 5 Déc - 16:07, édité 41 fois
Sujet: Re: Juliette † it's you it's you it's all for you Mer 13 Nov - 23:28
Still loving you..........
- j'adore ton gif dans ton profil quoi -
la puissance est en moi
Hi ! My name is Isaac Williams
▽ INSCRIT LE : 21/10/2013 ▽ MESSAGES : 656 ▽ BONUS : 127 ▽ JE RESSEMBLE À : louis tomlinson, le mec le plus hot de la terre et JE LUI FAIS DES MILLIONS DE BB SEKSI COMME LUI. ▽ CRÉDITS : sweet disaster. ▽ PSEUDO : anaëlle.
Sujet: Re: Juliette † it's you it's you it's all for you Mer 13 Nov - 23:29
J't'aurais bien insulté mais avec ta face de bb c'est trop dur alors je vais me contenter de te dire que je t'aime Big Mama.
Sujet: Re: Juliette † it's you it's you it's all for you Mer 13 Nov - 23:40
Aden c'est parce que t'es dessus tu me fais AJIHUZHUZHEUHIO
T'oserais pas m'insulter Isaac quand même En plus j'ai rien fais jsuis un véritable petite ange, une petite fleure à ceuillir tu vois MOI AUSSI JTAIME TÊTE DE PASTÈQUE